La presse italienne a tenté de deviner le onze que devrait aligner Xabi Alonso à la rentrée. Et la composition proposée a de quoi surprendre, notamment pour une absence marquante.
Le Real Madrid va bientôt démarrer sa pré-saison de 15 jours. Un calendrier serré, forcé par la décision de Javier Tebas de maintenir le coup d’envoi de la Liga mi-août, ne laissera que peu de temps aux Madrilènes pour préparer la saison. Dans ce contexte, Xabi Alonso doit déjà réfléchir à ses priorités… et à son équipe-type.
D’après Tuttomercato, Xabi Alonso devrait bel et bien s’appuyer sur le même schéma qui a fait son succès au Bayer Leverkusen : une défense à trois centraux épaulée par deux pistons. Un dispositif qu’il pourrait reconduire dans plusieurs matchs à Madrid, en fonction des profils à sa disposition.
Dans ce onze projeté, les nouvelles recrues sont bien présentes : Trent Alexander-Arnold et Álvaro Carreras occuperaient les couloirs, tandis que Dean Huijsen s’installerait dans l’axe de la défense, aux côtés de Rüdiger et Asencio. Militao, de retour après une longue période sans jouer, débuterait la saison en retrait. Dans les buts, Thibaut Courtois conserve logiquement sa place.

Güler, le grand perdant
Au milieu, Tuttomercato imagine un double pivot Valverde–Tchouaméni, avec Jude Bellingham un cran plus haut pour faire le lien avec l’attaque. Devant, le duo Vinicius–Mbappé serait chargé de faire la différence, reléguant Rodrygo sur le banc. Seul Daniel Carvajal est cité comme alternative crédible à l’un des titulaires, en l’occurrence Trent.
Et Arda Güler dans tout ça ? Nulle part. Le jeune international turc, pourtant auteur d’une belle Coupe du monde des clubs, ne figure pas dans ce onze théorique. Un choix étonnant, surtout quand on se rappelle qu’il avait changé le visage du Real dès son entrée en jeu au premier match du tournoi.
Ce onze reste évidemment une projection extérieure et ne tient étonnamment pas compte de l'absence prolongée de Jude Bellingham pour les semaines à venir. Mais si Xabi Alonso a effectivement cette équipe en tête, Arda Güler devra, une fois encore, se battre pour bousculer la hiérarchie.